Je voudrais ici, en réponse à un commentaire de Teo Toriatte, apporter des éclaircissements sur un précédent billet.
Je n'ai personnellement rien à reprocher à Martine Mazoyer, ni même aux adhérents de l'UDF. Je ne fais que m'interroger tout haut sur ce que peuvent penser les néo-MoDem d'une légitimité des UDF ou ex-UDF.
Je suis bien d'accord qu'il faut une structure de base pour démarrer, et celle de l'UDF, en place depuis un moment, est la mieux placée pour agir. Cependant, nombre d'entre nous ont adhéré au MoDem, alors même qu'il n'avaient pas adhéré à l'UDF. Et l'on sait, la campagne l'a largement démontré, que le clivage UDF/MoDem est une réalité. Beaucoup parmis les UDFs "historiques" ont du mal à intégrer les nouveaux venus en politique que nous sommes. Certains même sont effrayés par notre vitalité qu'ils confondent avec de la fébrilité.
Alors, la vraie question est la suivante : comment concilier l'expérience et l'inexpérience ? Comment réussir le mariage des adhérents UDF avec ceux du MoDem ?
Je ne possède pas la science infuse, et parfois, mes écrits peuvent sembler un peu brouillon, voire porter à confusion si l'on s'en réfère audit billet. Cependant, j'espère rester dans une démarche "constructrice"...
La difficulté de cette intégration tient en terme d'expérience. Les UDFs estiment que leur expérience de la politique est un atout, alors que les néophytes du MoDem pensent que leur fraicheur leur permettra de bousculer les idées reçues. La vérité est sans doute quelque part entre les deux...
Bienvenue à tous dans mon espace de réflexion...
Merci de prendre un peu de temps pour lire mes billets, même anciens, votre avis m'intéresse...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire